Découvrez-vous des ressources insoupçonnées grâce au biohacking et à la nutrition

Anne Trager, coach certifié en potentiel humain et partenaire du Centre Thiêu Lâm au sein du programme Sport-santé, vous présente cet art personnalisé pour profiter au maximum de la vie

Imaginez, juste un instant, une vie où vous dormez comme un bébé, où vous n'avez plus de fringales ingérables, et où vous vous sentez en pleine forme en permanence. Imaginez que vous soyez plus productif et de meilleure humeur. Imaginez que vous ayez l’esprit clair plus souvent.

Que vous puissiez puiser dans une réserve d’énergie quasi inépuisable pour faire face aux changements, faire vivre votre motivation et atteindre vos objectifs. Ce n’est pas un doux rêve, mais l’objectif du biohacking—une approche simple, personnalisée, qui démarre par la nutrition, passe en revue vos habitudes, et vous permet d’accéder à votre plein potentiel rapidement et à tout moment.

C’est quoi le biohacking?

Qu’est ce que le biohacking ?

Qu’est ce que le biohacking ?

En quelques mot, c'est l’art et la science d’optimiser son corps, son environnement et ses pensées pour trouver un état de performance optimal. Le corps se trouve au centre de notre performance au quotidien, et il est hautement dépendant de notre alimentation, nos habitudes, et notre environnement. Le biohacking s’attelle à optimiser ces derniers en trouvant des astuces personnalisées adaptées à la vie de chacun, selon ses objectifs. En utilisant les dernières recherches scientifiques associées à l'auto-expérimentation, le biohackeur va affiner les éléments de son environnement—nutrition, récupération, sommeil, sport-santé, habitudes, respiration,…—pour qu’ils contribuent activement à ses objectifs. 

Pour décomposer le mot, c’est « bio » comme biologie. Le corps, quoi. Cette approche utilise la science et la technologie pour comprendre et optimiser le fonctionnement de son corps. Le principe est que sa biologie va influencer son énergie et ses pensées et ses relations et, du coup, tout ce que l’on entreprend. Le mot « hacking » n’a pas le sens de « piratage », mais plutôt d’astuce ou de technique intelligente pour faire ou améliorer quelque chose. 

Le mot "biohacking" a été popularisé par Dave Asprey, un entrepreneur et expert en intelligence artificielle de la Silicon Valley, qui a utilisé une approche de programmateur des systèmes informatiques pour résoudre méthodiquement ses problèmes de santé. Il dirige, d’ailleurs, l’institut de formation où j’ai été formée comme coach en potentiel humain (un programme de formation accrédité par la Fédération internationale de coaching). Le biohacking est utilisé par des dirigeants de grandes entreprises, des unités militaires d'élite comme les Navy SEAL, et des athlètes de haut niveau qui cherchent à perfectionner et améliorer continuellement leurs performances physiques et mentales. Mais il est destiné et accessible à tous.

Le principe du moindre effort

Notre cerveau a deux objectifs: assurer la survie et dépenser le moins d’énergie possible. Le biohacking va se baser sur cet état de fait en trouvant des actions et des choix qui ont un maximum d’impact avec un minimum d’effort, ce que j’appelle le principe MIME. Comme le principe de Pareto—la loi des 80-20 où environ 80% des effets sont le produit de 20% des causes—le biohacking se focalise sur les 20% qui ont le plus d’effet. 

Le principe de l’individuel dans un écosystème

Le biohacking, tout comme le coaching plein potentiel, va regarder l’individu dans son écosystème. Nous sommes tous influencés autant par notre environnement externe (lumière, qualité de l’air, produits que l’on utilise dans la maison ou sur notre corps, mais aussi par nos relations) et interne (nutrition, microbiome, mais aussi émotions, pensées…).

Ce qui fait de nous des êtres parfaitement individuels, chacun étant un système complexe et unique forgé par sa génétique, son environnement, son expérience, et bien d’autre facteurs. Autrement dit, ce qui fonctionne pour moi, ne fonctionnera pas forcément pour vous. Il n’y a pas de recette universelle, ni de pilule magique.

Le principe d'expérimentation et de choix personnel

Pour cette raison, le biohacking comprend un volet d’expérimentation personnelle. En fin de compte, personne d’autre n’en sait autant que vous sur votre corps, votre esprit et votre environnement. Et si on vous aidait à utiliser votre propre système de retours instantanés (instant feedback), qui consiste à apprendre à vous écouter plus finement, pour devenir la meilleure version de vous-même?

Dans le biohacking, on s’étudie soi-même en observant et en mesurant les impacts de différents aliments, produits, et actions. On quantifie. On peut s’appuyer sur les nouvelles technologies quantitatives et qualitatives (applis smartphones, montres et bagues connectées, suivi du sommeil, etc.).

On optimise. On observe. On analyse. Ensuite, on affine et peaufine. On prend en charge le fonctionnement de son corps et on se concentre sur ce que l’on souhaite améliorer — capacités physiques, capacités cognitives, énergie, vitalité, efficacité, résilience, créativité… à vous de choisir votre angle d’attaque.

Quantifier. Optimiser. Analyser. Ajuster.

Le biohacking pour le bien-être

Le biohacking pour le bien-être

Intégrant des apports, outils et stratégies issus de la nutrition, de la psychologie positive, de la psychologie du succès, et des dernières avancées des neurosciences, le biohacking est une pratique individuelle basée sur un principe simple: arrêter de faire des choses qui vous affaiblissent. Privilégiez ce qui vous rend plus fort.

Mesurez et corrigez le tir. Recommencez. C’est une façon de penser qui s’applique aussi bien à votre mode de vie, à vos pratiques, et à vos habitudes. Il vous permet de déterminer ce qui vous convient le mieux pour optimiser votre énergie, retrouver la clarté mentale, et tirer le meilleur parti de vos émotions.

À découvrir.

Mes 3 « hacks » préférés

Préparez le matin un café au beurre

Préparez le matin un café au beurre

Un hack est une action à l’impact multi-supérieur à l’effort demandé. Je vous livre mes 3 « hacks » préférés. Dans un esprit de biohacking, je vous propose de les tester. :-) 

  • Le café au beurre. Si l’idée de démarrer la journée en ajoutant du bon gras non-altéré (du beurre, et un petit peu d’huile de noix de coco) à son café vous provoque un haut-le-cœur, vous ratez une astuce simple qui éclaircit les pensées et coupe court aux fringales de la mi-matinée. Ça se rapproche du cappuccino, et le café au beurre à lui tout seul suffit pour vous donner un avantage sur les collègues, car il booste la concentration et la performance. En fait, votre cerveau est fait d’environ 60% de gras qu’il faut nourrir.

  • Sauter le petit déjeuner. En sautant le petit déjeuner le matin, votre corps continue son jeun de la nuit, et se nettoie, augmentant votre énergie. Selon les exigences de votre vie, c’est à faire de temps en temps (même jusqu’à quelques fois par semaine). Visez 12 à 18h de jeun. Le gras, dans un café au beurre, par exemple, permet de tenir plus longtemps sans souffrir de la sensation de faim, sans pour autant impacter les bénéfices d’un jeun (par contre, une prise de glucides (pain !) ou de protéine (œufs, jambon) interrompt le processus.

  • La douche froide. Si, si. Le matin. En insistant sur le visage et le haut du torse, où vous avez le plus de récepteurs du froid. Faites-le pendant trois matins de suite au minimum. Vous allez me détester au début, mais après, vous remarquerez une vraie sensation de bien-être. Cette astuce signale à vos mitochondries (les « centrales énergétiques » des cellules) de se renforcer pour répondre au froid, et vous en profitez toute la journée.


Pour en savoir plus et pour découvrir cette nouvelle méthode, un atelier vous est proposé le dimanche 24 mars 2019 à 15h00 au Centre Thiêu Lâm, 3 rue Georges Gay, 31700 Blagnac.

Si vous souhaitez faire une séance spéciale nutrition biohacking appelez Anne Trager, 06 81 01 98 35 — www.annetrager.com